On l'écrase parfois sans s'en rendre compte, on la contourne pour éviter ses piquants, on la décroche délicatement (elle est pourtant protégée, qu'on se le dise !) pour en déguster le coeur revenu dans l'huile... On ne présente plus la carline qui jalonne nos marches sur le Causses depuis tant d'année !
Les paysans, eux, l'ont depuis des temps anciens accrochée, en guise de baromètre, sur la porte de leur grange, où elle continue de s'ouvrir ou se fermer au gré de la pression atmosphérique !